La vallée d’Avérole

Le glacier de Charbonnel

La vallée d’Avérole est une vallée importante que l’on découvre sur la droite à la sortie de Bessans en direction de Bonneval sur Arc. L’accès aux cols d’Arnès et du Lautaret permettait au siècle dernier d’éviter la route du Mont-Cenis et surtout du péage en vigueur à l’époque afin de rejoindre Susa en Italie. Le départ de la randonnée commence au hameau de Vincendières. Le hameau d’Avérole, situé à 2037 m d’altitude, a été construit dans le haut Moyen-Age.

Les via ferrata du diable

le fort Victor-Emmanuel

Elles sont situées dans les gorges de l’Arc. Elles relient les 5 forts de l’Esseillon construits entre 1820 et 1832 sur les communes d’Aussois et d’Avrieux. Ces forts ont été construits à l’époque du Royaume de Piémont-Sardaigne selon les plans du Marquis de Montalembert. Ils portent les prénoms des souverains de la famille royale : Victor Emmanuel et Marie-Thérèse, Charles-Félix et Marie-Christine, Charles-Albert. Ils verrouillaient l’accès au principal passage entre la France et le Piémont, contrôlant ainsi la route royale du Mont Cenis.

Le mont Charvin

D’Ugine, nous avons pris la route du col d’Arpettaz. C’est par une via ferrata que nous sommes arrivés au sommet, à 2409 m. Nous sommes passés par le Golet de la Trouye, un couloir très étroit et raide et par le passage de la Sentinelle. Les câbles sécurisent un itinéraire très alpin. Après des gradins successifs, nous avons longé la crête jusqu’à la croix, au sommet. Nous sommes redescendus de l’autre côté, par le pas de l’Ours, lui aussi câblé. Puis nous avons cheminé longuement pour retrouver la piste qui nous a ramené au col.

La pozzine de Jérusalem

D’Allevard, nous sommes montés nous garer au pont du Veyton. Nous avons longé une longue piste forestière jusqu’au Plan de l’Ours. Puis nous avons emprunté un sentier dans la montée de Tirequeue (Les curistes d’Allevard en excursion s’aidaient dans la pente en tenant la queue des ânes). Après le barrage du Carre, construit dans les années 1950, nous avons marché jusqu’au plateau de Périoule, dans les tourbières, puis dans la pozzine de Jérusalem.

Le lac de la Coche

Nous sommes partis du village de Prabert, en Belledonne. Nous avons suivi la route forestière du Pré de l’Arc jusqu’au parking du pont de la Betta (1294 m). Nous avons suivi le GR 549 et une piste forestière puis gravi le vallon du Muret. Nous avons laissé à notre gauche le refuge d’Aiguebelle pour franchir un ruisseau et monter jusqu’au pas de la Coche (1989 m). Le lac est habité par des tritons.