Après les dunes d’Elhnichate, nous retrouvons l’Oued, le bord de la rivière, pour retrouver la palmeraie d’Elkhouzlane et quelques villages. Nous découvrons aussi la palmeriae de M-Hamid et de ses nombreux ksours, les villages fortifiés. Nous voyons bien la différence entre les palmeraies irriguées par l’eau du Drâa et les autres. Cette eau provient du lac de Ouarzazate. Lachée environ une fois tous les 3 mois, elle met environ 15 jours pour arriver aux palmeraies situées plus au Sud.









A la fin du moins d’août, au cœur des palmeraies, les coups de machette résonnent d’arbre en arbre. Les grappes de dattes, cueillies juste avant maturité, tombent sur de grandes toiles étendues au sol. Un bon palmier peu produire jusqu’à 50 kilos de dattes, dont il existe un grand nombre de variétés. La plus réputés au Maroc est la medjoul du Tafilalet, une datte très sucrée, fine et savoureuse.